La lecture de cette lettre n’est guère de tout repos.En la relisant, l’on constate qu’elle est tout simplement truffée de fautes. En effet, tous les 4 paragraphes (article 1, 2, 3 et article 4) relatifs à la décision de licenciement et les droits de la personne visée, ont été complètement bâclés avec des « fautes » plus que « gênantes ». En clair, de quoi réveiller Molière et Faire retourner Senghor dans sa tombe.D’ailleurs, la question fondamentale est de savoir si la mairie de Kaolack a bel et bien un secrétaire municipal?
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